Enfin à l'aéroport. Après avoir passé la sécurité où ma valise a été fouillée de fond en comble ( le radioscan était équivoque) et qu'un autre passager a eu le malheur de l'ouvrir (il a eu droit à mon humeur teigneuse quand il m'a sorti une excuse bidon), nous voilà attablés à la microbrasserie Archibald. Sympathique, devant une table faite d'une seule pièce de tronc d'arbre. Le café est excellent et les croissants chauds. Jean en a profité pour envoyer un courriel à sa soeur.
Derrière la vitre, l'écran de TV annonce la prise d'otage à Paris. Que de mauvaises nouvelles qui s'accumulent !
Nous allons enfin essayer de relaxer mais cela va nous prendre un peu de temps . . .
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